
Et vous comment vous voyez l’avenir de votre entreprises ? Le cabinet KPMG a interrogé plus de 1300 dirigeants d’entreprises dans el mon de pour le savoir, les interrogeant autant sur l’environnement réglementaire, la cybersécurité, la croissance, les intentions d’embauches que sur la transformation numérique.
la crise est derrière
Bonne surprise, globalement les chefs d’entreprises semble optimistes pour l’avenir. La crise semble derrière eux. Et ils sont bien décider à conquérir de nouveaux marché, qui a accélérer le rythme des acquisitions. Leurs perspectives d’embauche sont, partout, en nette amélioration, révèle l’étude.
Mais l’ombre de l’ubérisation plane. "Notre enquête fait également apparaître, chez les chefs d’entreprise interrogés, une très nette prise de conscience des questions liées à la disruption numérique. L’arrivée possible de nouveaux entrants s’appuyant sur le levier technologique et les enjeux de fidélisation des clients arrivent aujourd’hui parmi leurs tout premiers sujets de préoccupation - avec, bien sûr, les traditionnelles questions réglementaires et fiscales, qui reviennent de manière récurrente", comment les auteurs de l’étude.
Trop rapide technologie
En France 91% des chefs d’entreprise interrogés sont inquiets de l’arrivée de nouveaux entrants pouvant perturber leur business modèle. Ils sont aussi 75% à s’inquiéter du "maintien au rythme des nouvelles technologies", une formule un peu compliquée pour parler (surement) du volet outil de la transformation numérique de notre économie.
Globalement, les trois quarts des dirigeants d’entreprises pressentent une complexification du contexte concurrentiel : 74% craignent l’arrivée de nouveaux intervenants pouvant perturber leur modèle économique et 68 % sont préoccupés par la capacité de leurs concurrents à leur prendre des parts de marché.
pénurie des talents
L’autre grande ombre est celle de la pénurie de talent. La gestion des talents est considérée comme l’un des plus grands défis à relever pour rester dans la course. En effet, les dirigeants d’entreprises font état de l’amorce d’un manque de compétences qui empirera probablement au cours des prochaines années. L’adoption de ces nouvelles technologies perturbatrices implique une étape de formation permettant aux effectifs d’obtenir des compétences supplémentaires qu’il appelle "re-talenting", explique l’étude.
D’autant plus que les entreprises anticipent leur propre transformation. Elles sont 29% à penser que dans 3 ans, leur entité sera différente.
Réagir