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Après la montre verte du premier festival Futur en Seine en 2009… l’édition 2015 a son Urban Dirt Lab de l’édition 2015. L’idée est la même munir les festivaliers de capteur pour cartographier les pollutions. En 2009, la montre verte, imaginée par la FING, était munie d’une puce GPS et deux capteurs environnementaux pour mesurer l’indice d’ozone et le bruit. Les données étaient transmises à intervalles réguliers, via un téléphone mobile, à une plate-forme ouverte, Citypulse.
En 2015, l’Urban Dirt Lab associe les technologies de trois acteurs : la start-up Plume Labs qui fournit le capteur de pollution (50 exemplaires du prototype de son capteur individuel de pollution de l'air en développement) et son appli Iphone Plume report ; La paillasse qui fournit un kit pour traquer les microbes par des mesures bactériologiques ; et Inria, qui a développé une appli Android pour mesurer le bruit autour de soi.
Durant deux jours, les 13 et 14 juin, les festivaliers de futur en Seine pourront aller retirer leur Kit de mesure à La Gaîté Lyrique et partir explorer le deuxième arrondissement et traquer les pollutions afin de cartographier le quartier. Les données collectées seront affichées en temps réel au QG de Futur en Seine et utilisées à des fins de recherche.
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