Le second premier jour de mon entreprise
Ex-directeur commercial de Relaxnews et de My Little Paris, Thomas Barret a décidé en 2015 de créer son entreprise. Ambition : ré-enchanter nos matins, avec sa gamme d’accessoires siglés The Morning Company. Chose peu commune, il choisit dès le début de son aventure de tenir un carnet de bord, afin de partager ses premiers pas et ses péripéties d’entrepreneur. L'Usine Digitale publie, chaque semaine, ses récits. Cette semaine, il nous parle des questionnements que lui génèrent son lancement à l'international.
Aujourd’hui est un second premier jour. C’est bizarre. Et ça ne veut rien dire. Et pourtant, c’est comme ça que je le ressens. Les 22 mois qui viennent de s’écouler n’ont pourtant pas disparu. Et le résultat de mon travail, The Morning Company, non plus.
Mais les questions "Par où commencer ? Comment s’y prendre ?" que je me posais un certain lundi 5 janvier 2015 à 9h20, lorsque toute cette histoire a commencé, refont surface aujourd’hui. Fort heureusement, il ne s’agit pas stricto sensu du même sujet. En janvier 2015, il s’agissait de poser les fondations de ma création d’entreprise. Aujourd’hui, il s’agit plutôt de poser les premières pierres de ladite entreprise… à l’international.
Mes 3 commandements
Voilà pourquoi j’ai l’impression, en quelque sorte, de repartir de zéro. Les mêmes questions, nombreuses, qu’au commencement – et peu de réponses en stock, une fois de plus. Alors, comme il y a 22 mois, la stratégie va être simple : définir quelques règles, et s’y tenir:
- Pour se mettre dans le bon état d’esprit, en anglais lire & écrire souvent, tu devras
- Le plus possible d’entrepreneurs du luxe présents à l’international, tu rencontreras
- Plus de cinq cafés par jour, tu boiras (easy one)
Rien de génial ni de brillant, on est bien d’accord. Mais quelques lignes directrices qui permettent de se mettre d’entrée de jeu dans l’action. L’action, d’ailleurs, a déjà commencé. Mon sixième café de la journée en main, j’ai écrit mon premier article en anglais sur les premiers pas (enfin surtout les premières interrogations) à l’international de The Morning Company sur Linkedin (à lire ici).
Vous aussi, vous voulez un peu d’action ? Ok. Avec plaisir. Envoyez-moi vos idées, vos réflexions ou vos inspirations. J’en suis très preneur. Et si vous en voyez l’intérêt, partagez mon article dans la langue de shakespeare, afin que le monde entier sache que The Morning Company arrive (mais doucement, hein) !
3 rendez-vous pris pour parler international
2 heures pour écrire mon 1er article en anglais
1 angine, bien française celle-là
0… décollaaaaaaaaaage !
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