
Localisation : Paris
Création : avril 2015
Salariés : 1
Fonds levés depuis la création : 300000 euros
Retour sur notre mur des 70 pépites françaises de la mobilité
Le service a été lancé en janvier 2016 et il enregistre une croissance de 30% chaque mois en moyenne, assure l'entreprise. Les utilisateurs sont séduits non seulement par la possibilité de récupérer le véhicule loué à l'endroit de leur choix (sans passage obligé par l'agence) mais aussi par la proposition tarifaire. "Nous avons un tarif sans options ni coûts cachés, dans une transparence totale, argumente le fondateur. Le carburant est inclus, pas besoin de faire le plein avant de rendre le véhicule".
Pas besoin non plus de rendre le véhicule dans son agence d'origine : c'est un car-sitter de Carlili (un travailleur indépendant, souvent un étudiant auto-entrepreneur) qui vient le récupérer. De quoi grignoter quelques minutes de liberté supplémentaires au retour d'un week-end, ou organiser plus sereinement un déménagement.
Automatiser le processus
Si tout est simple pour l'utilisateur final (d'autant plus que la start-up met l'accent sur le SAV et le service client, pour leur trouver des solutions sur mesure), Carlili met en place une machinerie complexe en coulisses. Il dispose d'accords avec des loueurs indépendants et leur amène des propositions de location. "Nous avons mis en place un système d'enchères pour obtenir les meilleurs rabais possibles", explique Vincent Moindrot. Si une partie de cette transaction se fait encore manuellement, Carlili travaille pour bâtir une solution technologique 100% automatisée, afin d'accompagner la montée en volumes de la plate-forme. Et, accessoirement, réduire ses coûts pour proposer des tarifs toujours plus compétitifs.
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