Les 70 de la mobilité : Clem, l'Autolib des villes moyennes
Clem développe l'autopartage dans des villes moyennes et pour les entreprises.
Elle propose aussi du covoiturage dynamique.
Clem aide les entreprises, collectivité et, bailleurs sociaux, à mettre en place un service de partage de véhicules électriques. Mais là où Autolib en France et DriveNow ou Car2Go à l'étranger se concentrent sur de grandes métropoles, Clem s'adresse aux territoires périurbains et ruraux. "Le business model de Bolloré est axé sur l'ultra-densité, dans des villes de taille mondiale, explique Bruno Flinois, directeur général de la société. Nous proposons les mêmes solutions pour des villes plus petites."Catégorie : multimodalité et service aux usagers
Création : 2010
Localisation : Neuilly-sur-Seine
Salariés : 20
Fonds levés : 3,4 millions d'euros
L'autopartage est alors un moyen de transport complémentaire aux réseaux existants (autocars, covoiturage, taxis subventionnés) et permet de relier plusieurs hubs urbains. Clem propose d'ailleurs des services complémentaires, comme le covoiturage dynamique ou la réservation de bornes de recharge.
Retour sur notre mur des 70 pépites françaises de la mobilité
embeddé dans des offres smart city
Clem a déjà séduit une centaine de villes, une trentaine d'entreprises et une dizaine de bailleurs sociaux en France. La start-up peut collaborer avec des transporteurs en pleine transformation, comme Transdev au Havre. Ses services sont alors distribués sous marque blanche et non avec le nom "Clem.mobi" (ex Monautopartage.com). Clem est par ailleurs intégré aux offres "smart city" d'acteurs tels que GE, Nexans et Enedis (ERDF).
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