
Le concept même de géolocalisation est encore assimilé par les clients à un divertissement, bien que celui-ci atteigne aujourd’hui une échelle considérable : le réseau social Foursquare, qui a popularisé cette fonctionnalité dès 2009, cumulait pas moins de 5 milliards de check in à la fin de l’année dernière (voir le lien ici). Cette possibilité de « signaler où l’on se trouve » ou de contextualiser une photo prend aujourd’hui une envergure supplémentaire grâce au taux d’équipement en smartphone qui grimpe en flèche, avec 50% de la population française (source GfK), tandis que Facebook et Twitter offrent aussi la possibilité d’effectuer son "check in". Bref, la greffe du "check in" et de la géolocalisation a pris.
Pour les distributeurs, l’enjeu consiste désormais à faire basculer ce « check in » d’une dimension ludique à une logique utilitaire, et d’en développer un usage "in store", qui ouvre la voie à de nouveaux types de services et de bénéfices personnalisées pour le client. L’enseigne en tire de son côté d’autres avantages, en termes de données clients, de marketing de précision et de trafic supplémentaire en magasin.
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Par Florent Maillet pour LSA
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