
La performance d’un robot collaboratif, ou cobot, tient à sa capacité à détecter rapidement tout contact avec son environnement. Yvan Measson, chercheur au CEA List, a donc eu l’idée de proposer le robot à l’inertie la plus réduite possible. Pour cela, il a remplacé les traditionnels motoréducteurs à engrenages par des vis à billes et une commande par câble. Plus besoin de capteurs d’efforts sur chaque articulation du bras, il suffit de mesurer le courant envoyé dans le robot depuis l’armoire électrique. La spin-off, Sybot, est en cours d’incubation chez Incuballiance.
Son point fort : Un robot collaboratif sans capteurs d’effort
En chiffres : Start-up en cours de création, démarrage prévu fin 2015.
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