
Il n’est pas courant qu’un distributeur prenne spontanément la défense de son ou ses fournisseurs. Pourtant, le SDLC, (Syndicat des Distributeurs de Loisirs Culturels) et les enseignes qu’il représente "ne peuvent rester muets devant les bras de fer qui se jouent, d’un côté entre Hachette et Amazon, de l’autre entre les petits (et moyens) éditeurs de musique et YouTube (et par là même Google)".
LSA publie une tribune de ce syndicat.
"Il ne faut pas croire que les combats qui se mènent en ce moment ne nous concernent pas : qu’on le veuille ou non, ces deux entreprises américaines font aussi leur business en France, et il y a gros à parier que les décisions prises sur d’autres territoires feront sans doute autorité bientôt sur le nôtre"...
Réagir