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Ces start-up françaises qui sauvent l’air
Que ce soit en tissant un réseau de capteurs de mesure de la qualité de l’air, ou en aidant à réduire les émissions, des start-up françaises peuvent, elles aussi, aider à lutter contre la pollution atmosphérique.
Le covoiturage, qui permet de profiter d'une place dans la voiture d’un particulier (gracieusement ou pas) pour réaliser un déplacement, est peut-être une des pratiques les plus vertueuses en matière de lutte contre la pollution atmosphérique. Prendre le train n’est pas toujours possible et déplacer une voiture pour une seule personne n’est pas très écologique. Le français Blablacar, précurseur (sous le nom de covoiturage.fr) en est le leader européen. Créé par Frédéric Mazzella, il a inspiré d’autres sites ou associations, comme Covoiturage-libre, covoiturage.com ou encore Wayz-Up.
En aidant les riverains à optimiser le réglage de leur chauffage, des start-up comme Qivivo, avec son thermostat intelligent, Smart impulse, qui écoutent les consommations d’énergie, ou ijenko, avec sa box énergie en marque blanche, œuvrent, elles aussi, à réduire les émissions de particules.
Analyser l'air
En multipliant les capteurs de mesures des polluants atmosphériques (comme le CO2), et en les reliant en réseau, certains objets connectés pourraient permettre à leur tour de contribuer à maîtriser la qualité de l’air. C’est le cas par exemple de la station météo personnelle, de Netatmo ou du capteur interne de qualité de l’air intérieur Alima d’AirBoxlab, mais aussi de la dernière version de la balance connectée de Withing.
Indirectement, les abeilles des ruches connectées d’Apilab, peuvent elles aussi prévenir les pollutions, auxquelles elles sont particulièrement sensibles. Mais aussi les Lichens d’Aair-lichens, spécialiste de la détection de la pollution de l’air et du suivi environnemental de l’industrie, en particulier des usines d’incinération, notamment les UIOM (usines d’incinérations ménagères). Ses mousses permettent l’analyse précise du taux de dioxine.
Aurélie Barbaux
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