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La consommation courante est un nouveau relais pour le e-commerce
Les ventes en ligne de produits de consommation courante, hors produits frais, représenteront 53 milliards de dollars (39 milliards d'euros) d'ici 2016, soit 5,2% du chiffre d'affaires mondial total, contre 3,7% actuellement, conclut une étude publiée le 16 juin par le cabinet Kantar Worldpanel.
Avec
Mis à jour
17 juin 2014
Les vente de produits de consommation courante sur Internet (hors produits frais), représenteront d'ici 2016 53 milliards de dollars (39 milliards d'euros). Elles augmenteraient ainsi de 47% d'ici 2016 par rapport aux 36 milliards de dollars actuels.
La Corée du Sud conservera sa position de tête, portant la part du commerce en ligne pour ce type de biens de 10,2% actuellement à 13,8% d'ici 2016, tandis que la Chine et Taiwan observeront également une nette croissance, ajoute le cabinet.Kantar voit également la France dépasser le pionnier britannique dans le commerce électronique, compte tenu de l'engouement pour le "drive", les points de retrait en magasin des commandes effectuées en ligne. La part des ventes "online" en France passerait de 3,9% actuellement à 6,1% d'ici 2016, tandis que pour la Grande-Bretagne, la progression serait moins nette, de 4,9% à 5,5%.
220 milliards de dollars
Le cabinet observe par ailleurs que certaines marques et certains distributeurs rechignent à passer à la vente en ligne car ils craignent de voir le commerce électronique cannibaliser le commerce physique ou que la clientèle soit moins fidèle sur nternet qu'en magasin. Stéphane Roger, directeur de Kantar Worldpanel pour la distribution, estime au contraire qu'"être en retard risque de porter nettement préjudice aux ventes et d'éroder la part de marché".
Pour ce qui concerne l'épicerie, le passage par le "online" est lent, pour des questions de livraison et en raison du caractère périssable des articles, mais le mouvement tend à s'accélérer grâce à la percée d'Amazon.com dans l'alimentaire. Aux Etats-Unis, Bernstein Research estime qu'un quart environ des dépenses de biens de consommation courante - qui se montent à plus de 220 milliards de dollars annuellement - se feront via Internet.
Avec Reuters
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